Ce site est une présentation du livre « Les haptènes dans l’étiologie des maladies physiques, mentales et leur rôle dans les troubles de comportement » d’un chercheur autodidacte Jerzy Grzeszczuk.
Ce chercheur s’est donné pour mission de découvrir les causes de maladies d’étiologie inconnue et de certaines maladies incurables.
Le terme de maladies incurables désigne les maladies pour lesquelles on ne trouve pas de thérapies totalement efficaces, et dont les causes ne sont pas toujours découvertes, ni prouvées.
Toutes les maladies « incurables » les sont-elles vraiment ? Vous pouvez trouver la réponse sur ce site qui s’inspire du livre de Jerzy Grzeszczuk dans lequel l’auteur décrypte les mécanismes conduisant à l’apparition de maladies telles que des allergies, certains cas d’épilepsie, la toxémie gravidique, la sclérose en plaques et d’autres maladies auto-immunes.
L’auteur avance une hypothèse selon laquelle certaines maladies sont le résultat de l’interaction chimique des organismes humains. Cette hypothèse permet d’expliquer d’une façon claire et logique les raisons de l’apparition de certaines maladies dites incurables, et les moyens de s’en prémunir.
Grâce aux études scientifiques, nous savons déjà que chaque individu possède un système immunitaire qui lui est propre et différent du système immunitaire d’ autres individus. Une des caractéristiques les plus connues qui différencie les individus est l’appartenance à un groupe sanguin, détectée par la présence d’antigène A, B et D (Rhésus). L’originalité du livre consiste à rappeler que la variabilités des éléments du sang est beaucoup plus grande encore, mais surtout, à démontrer que la présence de résidus de groupes sanguins dans d’autres liquides corporels que le sang joue un rôle capital dans le fonctionnement du système immunitaire. Et c’est une vraie découverte.
Jerzy Grzeszczuk est le premier à découvrir les répercussions sur le plan immunitaire de l’action chimique des molécules sécrétées par l’organisme humain. Or la particularité de l’organisme de sécréter des résidus de son groupe sanguin apporte des avantages que les individus non-sécréteurs ne possèdent pas. Mais le fait de pouvoir sécréter certaines molécules, appelées haptènes, à l’extérieur de l’organisme, représente d’autre part un risque pour la santé de certains individus. Le chapitre « Mes haptènes dans ton sang » explique ce phénomène biologique.
Afin d’étayer son hypothèse, l’auteur décrit des cas où l’effet pathogène des substances produites par l’organisme humain sur d’autres humains est bien réel.
C’est une œuvre pionnière dans le domaine de la biologie moléculaire qui démontre l’existence de phénomène de l’interaction chimique nocive des organismes humains, donc au niveau moléculaire, ignoré et inexploré, car cette problématique n’intéressait pas les scientifiques.
Afin de pouvoir comprendre la nature du phénomène de l’action chimique du corps humain, les connaissances dans le domaine de l’immunologie et de l’hématologie sont nécessaires. Le chapitre de ce site intitulé « Qu’est-ce que les haptènes ? » traite d’une manière abordable et compréhensible les points les plus importants dans le domaine des défenses de l’organisme humain, ainsi que le rôle des haptènes de groupes sanguins dans l’apparition de certaines maladies.
Une vie familiale, une promiscuité et une intimité physique créent parfois des conditions défavorables à l’égard de certains individus prédisposés dont l’état de santé se dégrade à cause de molécules chimiques nocives provenant des organismes des personnes les plus proches. Éprouvé et affaibli par l’impact des ces molécules, le système immunitaire devient moins efficace, ce qui facilite parfois le développement des maladies virales, bactériennes, mycosiques et des maladies cancéreuses. Et c’est n’est pas tout. Les différences entre les organismes au plan chimique font le lit des maladies neurologiques comme la migraine et l’épilepsie, et elles contribuent à l’apparition de maladies auto-immunes, comme la sclérose en plaques.
C’est ainsi qu’on arrive à expliquer « l’inexplicable » comme dans les cas réels décrits dans le livre de cet auteur.
Des personnes gravement touchées par des maladies osent parfois dévoiler leurs doutes à leurs proches, mais généralement, ces aveux sont mal accueillis. Bien sûr, ces malades suivent toutes sortes de traitements qui ne servent qu’à soulager des douleurs, mais jamais à y mettre fin. Mais, si l’état du malade s’aggrave et des troubles nerveux apparaissent, dès lors les incidents dramatiques gâchent la vie de tous. Personne ne se rend compte que ce sont des substances insoupçonnables et méconnues, de petites particules chimiques émises par des organismes humains, et répandues dans l’air, qui peuvent avoir un pouvoir pathogène, entraîner des maladies chroniques, et parfois, menacer la vie de certains individus.
Une des conséquences courantes de l’interaction chimique des organismes humains est la perte de bien-être général. Sous l’influence des antigènes nocifs d’origine humaine (haptènes de groupes sanguins), des relations conflictuelles naissent au sein des couples ou entre les membres des familles. Il arrive que les personnes concernées se sentent mal aux côtés de leurs proches sans raison apparente, elles deviennent sois apathiques et déprimées, sois irritables. Des agressions, des querelles et des divorces, et même des meurtres dans la famille peuvent être mis sur le compte des modifications chimiques induites par des antigènes humains chez certains individus.
Les informations contenues dans ce livre ne sont certainement pas toutes joyeuses. Le sujet est délicat et controversé, susceptible de soulever des questions d’éthique. Néanmoins, elles sont bénéfiques en tant que moyen de prévention contre des maladies, des échecs dans la vie, des addictions, des phobies sociales. De surcroît, utilisées dans un but préventif, elles pourront contribuer à diminuer le nombre de suicides, d’homicides, de divorces. Elles pourraient être salutaires à nos proches pour qu’ils ne soient pas si souvent victimes de maladies cardiaques. Munis de ce savoir, nous saurions créer des conditions plus favorables à l’épanouissement de chacun. De plus, l’errance médicale serait écourtée, et les dépenses de santé pourraient baisser.
Des troubles de santé et des manifestations pathologiques d’ordre social découlant de l’action chimique du corps humain sont nombreux, mais ils n’étaient pas encore étudiés d‘une façon globale, c’est pourquoi cette problématique doit devenir l’objet d’études scientifiques poussées.