Énigmes médicales > L’énergie vitale et la thérapie par les biochamps

La nature de l’énergie vitale

Chaque organisme sécrète des molécules chimiques dans le milieu ambiant. On a réussi à identifier cent trente sept composés organiques dans un „bouquet” libéré à l’extérieur par un corps humain. Parmi ces composés chimiques, on trouve des particules chargées positivement ou négativement, c’est pourquoi certains chercheurs s’intéressent depuis longtemps à la nature électrique du biochamp, appelé énergie vitale ou aura. Il existe des appareils pour révéler les formes des biochamps qui entourent le corps humain, celui des animaux et des plantes.

Fig. 1 : Un biochamps de l’homme, selon H.A.Hänsche « Lanthasol und elektrisches Field Erfahrungsheilkunde. Beiheft : Die Kausale Therapie. » 1953.

Si l’on admet qu’un biochamp est de nature chimique, force est de penser donc qu’il est formé d’un nuage d’haptènes invisible à l’œil nu.

L’air expulsé hors d’organisme par les poumons est chargé en haptènes qui seraient concentrés autour de la tête, c’est pourquoi l’aura de la tête aurait une forme spéciale. Il y a plus d’haptènes près du visage que derrière la tête.

Photo 1 : Une photographie de l’aura des doigts. Le rayonnement des doigts est-il une démonstration des particules (haptènes) ionisés en mouvement ? (Une photographie Kirlian, réalisée par l’ingénieur Janusz Wilczewski , Kielce – Pologne).

Quant aux glandes sudoripares, elles sont situées d’une façon non uniforme sous la peau, mais concentrées sur la paume des mains et sur les plantes des pieds. C’est ainsi qu’on peut expliquer la création d’aura de diverses formes, et de ce qu’on appelle „rayonnement-émanation” depuis la tête, des mains et des pieds, donc des parties du corps où la sueur est abondante.

L’idée erronée sur la nature du biochamp

On attribue parfois des qualités maléfiques aux auras de certains individus. Inspirée par mes idées sur les émanations corporelles, une radiesthésiste m’ informa que des individus remplis de colère rentrée, de stress, de frustrations émanent des haptènes sous forme d’auras nuisibles pour les autres, et les auras des individus dotés d’une attitude positive sont bénéfiques. Mais en fait, ce ne sont pas les émotions humaines qui poussent l’organisme à produire les haptènes. Les émotions négatives ne fabriquent pas de mauvais haptènes, et les émotions positives n’apportent pas d’ haptènes souhaités. Il n’y a pas de bons ni de mauvais haptènes. Mais tous les organismes ne réagissent pas d’une façon identique en présence des mêmes haptènes.

Il paraît que cette interprétation des ressentis mène aux erreurs dans l’opinion sur des personnes en les qualifiant par exemple de vampires énergétiques. Une même personne peut être perçue par quelqu’un comme voleur d’énergie, mais elle peut avoir une aura neutre pour d’ autres personnes.

L’énergie vitale dans la bioénergothérapie

Il y a des personnes qui s’estiment être généralement en bonne santé et pleines d’énergie vitale mais, parfois, sous l’influence de certains individus, leur sentiment de bien- être disparaît comme si cette énergie vitale se dissipait. Elles ont aussi l’impression que les malades enlèvent l’énergie vitale aux gens bien portants. D’où aussi l’idée de pouvoir en tant que thérapeute de „donner” un peu d’énergie à des malades. Des centres de thérapies en bioénergie pouvaient donc prospérer en proposant de „ transmettre aux malades une dose de bien- être et de santé„ .

Ce type de raisonnement ne concerne pas, bien sûr, tous les bioénergothérapeutes, loin de là.

Regardons qu’en est-il en réalité.

La thérapie par les biochamps

Monsieur Bolek

Certains thérapeutes font démonstration de leurs biochamps pour prouver leurs effets sur les personnes malades. Ce genre de présentation peut faire changer d’avis les plus sceptiques. J’ai eu l’occasion de faire connaissance avec quelques-uns de ces thérapeutes, et je pense qu’il est utile de décrire leur mode opératoire.

Le premier thérapeute que j’ai connu avait raconté son histoire pour un journal local peu avant notre rencontre. Dans une intrerview, Monsieur Bolek décrivait les évènements qui l’avaient motivés à choisir son métier. Initialement, il travaillait comme infirmier militaire. Mais, les problèmes de santé ne l’épargnèrent pas pour autant. Comme n’importe qui dans sa situation, il cherchait le moyen de soulager ses douleurs, il cherchait de l’aide. La médecine ne pouvait rien pour lui, il s’adressa à un célèbre thérapeute, Clive Harris.

Il fallait faire une queue interminable pour être admis. Lorsque son tour arriva, et que Monsieur Bolek s’approcha du thérapeute, celui-là fit… un malaise. Tout le monde se trouva dans l’embarras. Les étudiants qui assistaient Clive Harris étaient désorientés. On décida enfin de faire une pause. Mais la pause terminé, le thérapeute refusa de soigner Monsieur Bolek.

Quelques mois plus tard, Monsieur Bolek, impassible, se présenta de nouveau chez Clive Harris qui, pris subitement d’une sensation de faiblesse, dut s’assoir. Le thérapeute s’exprimait en anglais, mais personne ne voulait traduire ses paroles à Monsieur Bolek. En tout cas, Monsieur Bolek était encore une fois privé du toucher salvateur.

Pendant la troisième visite de Monsieur Bolek chez le thérapeute, ce dernier n’eut pas de malaise comme précédemment, mais il s’est tout bonnement évanoui, et il resta inanimé un bon moment.

Monsieur Bolek se souvenait aussi d’ un autre incident. Un jour, il se rendit chez un couturier pour un service. Le couturier fut pris de tremblements pendant leur conversation, et il le chassa brutalement de son atelier. Monsieur Bolek exiga des explications, et il les reçut : le biochamp du couturier était plus faible que celui de Monsieur Bolek, et ce dernier l’épuisait davantage. Voilà un aveu qui ne pouvait pas laisser indifférent.

Les incidents avec Clive Harris et le couturier ont donné matière à penser pour Monsieur Bolek. Il décida d’explorer les propriétés hors du commun de son biochamp. Les rencontres avec des bioénerothérapeutes le confortèrent dans l’idée qu’il possédait un biochamp extraordinaire et un don curatif. Voilà pourquoi il avait décidé de devenir thérapeute.

Monsieur Bolek recevait donc des clients dans son propre cabinet thérapeutique où l’ on pouvait parfois assister à des scènes impressionnantes. Le journaliste du journal mentionné plus haut assista à une séance d’hypnose pour une jeune fille de 17 ans. Monsieur Bolek invita la jeune fille à s’assoir sur une chaise. Ensuite, il posa ses mains sur les tempes de la cliente, et il attendit tranquillement jusqu’ à l’évanouissement de la jeune fille. La pauvre adolescente avait les yeux fermés, ses mains tremblaient, et elle était totalement inconsciente de ce qui se passait autour d’elle. Quelques minutes plus tard, Monsieur Bolek retira ses mains, et il demanda de placer sa cliente évanouie sur un divan, de la couvrir d’un plaid, et de la laisser tranquille.

Les parents de l’adolescente ne pouvaient pas du tout rester calmes. On sentait la panique dans l’air, mais Monsieur Bolek gardait son sang-froid et assurait :

– „C’est un sommeil curatif au deuxième niveau d’incarnation”.

Pendant ce „sommeil au deuxième niveau d’incarnation”, la jeune fille faisait des gestes bizarres. Elle était très agitée, elle pleurait, criait, parlait, et sa respiration était saccadée. Il fallut attendre quelques dizaines de minutes avant qu’elle émerge de cet état. Une fois réveillée, elle n’avait pas de bonne mine. Le journaliste qui l’ interviewée apprit qu’elle avait ressenti un poids, puis des douleurs sur tout le corps au début de la séance. Et à la fin, ces sensations ont cédé à un sentiment de bien-être et une vraie béatitude.

L’ article du journaliste piqua ma curiosité. Je réussis à rencontrer Monsieur Bolek qui voulut bien me fournir une information au sujet de son groupe sanguin. Il avait le groupe sanguin A 1 Rh +. J’étais direct, et je lui dis qu’il était probablement sécréteur d’haptènes permettant obtenir des états hypnotiques chez ses clients ayant le groupe O, B, A 2 et A 2 B. Je ne pouvais pas m’empêcher de penser tout bas que Monsieur Bolek était un exceptionnel sécréteur d’haptènes car il avait les mains , selon son expression, brûlantes. Il devait donc transpirer beaucoup, et une exposition des malades à ces haptènes était d’autant plus prononcée.

Monsieur Bolek n’était pas du tout étonné. Il acquiesça même. Il se rappela que sa première femme avait le groupe A 2, et qu’elle était sans cesse malade au cours de leur mariage. Ils durent se séparer. Monsieur Bolek s’est remarié, et sa deuxième femme avait le groupe sanguin A 1 comme lui. Ce deuxième mariage était heureux.

Notre conversation parut d’abord constructive pour nous deux, jusqu’à ce qu’il me choque en avouant que sa thérapie risquait de nuire à certains clients, et même de provoquer un décès. J’exprimai mon inquiétude, amis aussi un espoir que mon hypothèse serait démontrée, et que la thérapie par biochamps nocifs interdite. Malgré tout, Monsieur Bolek accepta un des mes livres en souvenir, et nous nous sommes quittés en amis.

Quelle ne fut ma stupeur quand j’appris dans la presse que Monsieur Bolek ne travaillait plus. J’en conclus d’abord qu’il avait renoncé à soigner après avoir lu mon livre. Contacté par téléphone, le thérapeute rectifia cette information car il n’avait cessé son activité que temporairement. Il y était contraint afin de se reposer, vu les foules de clients qu’il avait. S’il acceptait de soigner parfois, c’était pour les cas les plus graves. Mais, à mon soulagement, il avait changé de méthode : il soignait désormais avec des paroles, des effleurements de sa main, des prières, des mots d’amour. Les malades appréciaient, et les résultats étaient très bons. Il mettait en pratique ma théorie auprès des clients en exigeant d’eux une hygiène personnelle parfaite avant chaque séance. D’ailleurs, il ne supportait plus certains clients à cause de leurs odeurs corporelles, et il prenait un bain immédiatement après leur départ pour „ enlever des haptènes nocifs”.

Puisque je préparais un article où je présentais la méthode de soins pratiquée par Monsieur Bolek, je lui envoyai une copie pour le corriger ou compléter. Notre conversation que nous avons eue quelques semaines plus tard n’était pas aussi agréable que la précédente. Nous étions au téléphone, et Monsieur Bolek pleurait en criant :

A cause de votre texte, j’ai frôlé la crise cardiaque ! Vous m’avez calomnié !C’est un coup dur pour moi car je suis tombé déjà à deux reprises dans le coma. Je suis profondément déçu par vos propos. C’est injuste de dire que je ne soigne plus les gens car, au contraire, je continue. Je guéris ! Je guéris des adultes et des nouveaux-nés dans des hôpitaux. Et c’est un mensonge de dire aussi que je pouvais tuer par ma transpiration, et si j’ avais les mains brûlantes, c’était parce que mes mains dégageaient beaucoup de bioénergie. Ma sueur ne tuait pas car je me lavait les mains après chaque séance. Si les gens perdaient connaissance à côté de moi, c’était à cause de leur sensibilité. Ce sera de votre faute si les médecins, alertés par vos critiques, m’ interdisent l’accès aux malades hospitalisés. Ma famille pourrait avoir recours en justice pour diffamation car j’ai juré d’aider les gens et non pas de les tuer„.

A la fin, il me dit qu’il me pardonnait.

Je me pliais en quatre pour le convaincre de mes bonnes intentions, et que ce n’était pas mon but de l’offenser. Je me suis excusé, et Monsieur Bolek se calma quand je lui promis de ne rien écrire à son sujet. Mais il se braqua dès que je lui demandai des échantillon de sa salive pour tester la présence d’haptènes A, B et H :

– „Vous m’avez fait de la peine, c’est pourquoi je ne vous donnerai aucun échantillon. Ma salive est saine. Je l’ai testé avec du papier pH. Il n’y a pas d’haptènes nocifs dans ma salive”.

La question de savoir ce que sont les biochamps, et s’ils sont bénéfiques et sans danger reste ouverte. Mes remarques au sujet des biochamps ne sont que des tentatives d’explication de ce phénomène, et il faudrait mener des recherches scientifiques afin de les valider ou invalider. Mais je ne suis pas trop optimiste parce que les nouvelles vérités qui gênent l’ordre établi sont toujours méprisées.

Chaman

La thérapie par biochamps était aussi utilisée par un jeune homme, que j’appellerais Chaman. Ses capacités impressionnaient énormément sa famille, ses amis, ses collègues de travail.

Parmi ses collègues de travail, il y en avaient deux qui rejetaient totalement l’idée de l’existence d’un fort biochamps. Mais leurs certitudes furent soumises à rude épreuve. Lors d’une rencontre avec Chaman, ils acceptèrent de faire une séance.

Chaman approcha ses mains du visage du premier collègue, et exécuta de lents mouvements au niveau de son nez pendant quelques minutes. On avait l’impression d’assister à une séance de magie. Hélas, le résultat était nul. Le public se mit à rire, se moquer, faire des blagues.

Chaman, imperturbable, recommença avec le deuxième collègue. Cette fois, Chaman fut plus efficace : le sujet s’évanouit. Chaman garda ses mains près du visage du jeune homme en induisant chez lui une perte de connaissance complète. A ce moment-là, Chaman s’éloigna du jeune homme, et demanda au public de vérifier si cette perte de connaissance était réelle. Et bien, le jeune homme ne faisait pas semblant. On ouvrit la fenêtre, et on l’aida à se remettre. Dès qu’il se fut relevé, il paniqua, et partit en courant, criant que Chaman cachait un diable. Plus tard, il quitta son emploi pour ne plus voir Chaman.

Chaman quitta son emploi aussi, mais pour une autre raison. Ses séances devinrent célèbres, et il était submergé par les demandes de malades qui cherchaient un remède miracle faute de le trouver auprès des médecins.

Je ne pouvais pas résister à l’envie de le rencontrer et d’en savoir plus. Je lui adressai donc une lettre où j’expliquai ma façon de comprendre le don dont il disposait. Il ne m’a pas répondu. Je me suis rendu à son domicile où se trouvait son cabinet pour lui parler.

Chaman savait qu’il avait un puissant biochamp capable d’induire un évanouissement, mais il essayait de ne pas le provoquer. Il a confirmé d’avoir reçu ma lettre, et d’en avoir discuté avec ses confrères thérapeutes, mais personne n’était au courant de l’existence des haptènes d’origine humaine. Lui non plus, il n’avait rien à dire, et il ignorait son groupe sanguin. J’appris plus tard qu’il était de groupe sanguin A1. Ainsi, j’étais en droit de supposer que les haptènes provenant de son organisme provoquaient une hémagglutination passive chez les personnes ayant les anticorps anti- A1. Cette hémagglutinantion était à l’origine des signes d’une alimentation insuffisante en oxygène qui se manifestait par une perte de conscience partielle ou totale chez le client.

Madame Alexandra

Les thérapies par biochamps sont à la mode, et les thérapeutes nombreux.

Un jour, un journaliste publia dans la presse un reportage sur une bioénergothérapeute, Madame Alexandra, qui disait :

Je possède un rayonnement si fort que certains patients perdent connaissance. Lors d’une interview, un jeune journaliste perdit connaissance à trois reprises. Moi, une femme âgée, j’étais désolée et gênée d’avoir agi rien que par mes biocourants sur un organisme si jeune”.

Madame Barbara

C’était une biologiste, et l’une des rares personnes qui avaient découvert par elles-mêmes d’où venaient ses problèmes de santé et de l’échec de leurs mariages.

Madame Barbara avait remarqué une régularité dans la succession des hauts et des bas de son état de santé. C’était en présence de son mari, qu’elle aimait d’ailleurs, que ses troubles de santé étaient insupportables. Ses enfants la rendaient malade, eux-aussi. Elle se sépara de son mari, et elle aménagea son nouvel appartement de sorte à limiter le contact avec ses enfants.

Le temps passa, les enfants fondèrent leurs propres familles, et Madame Barbara récupéra sa santé florissante d’autrefois. La vie était belle à nouveau, et elle pouvait se livrer à sa passion : son travail scientifique. Ses loisirs étaient consacrés à la médecine tibétaine, chinoise, et à l’étude des cultures, des mœurs et des croyances de divers peuples.

En tant que retraitée, mais pleine d’énergie, elle vivait entourée d’amis. Comme elle connaissait des langues étrangères, l’anglais, le français et le russe, elle entretenait une correspondance avec des personnes du monde entier.

Dans sa vie quotidienne, Madame Barbara voyait parfois apparaître des symptômes familiers. Elle était persuadée de l’existence d’un biochamp entourant le corps humain, et de son action tantôt bénéfique, tantôt néfaste sur d’autres individus. Son réflexe de scientifique l’incita à s’y intéresser de plus près, à réfléchir pour mieux comprendre ce phénomène.

Madame Barbara obtint une autorisation d’exercice de la médecine non conventionnelle, et elle créa une équipe de bioénergothérapeutes. Elle- même travaillait comme thérapeute, pleine d’enthousiasme pour son projet. Son rêve était d’aider les malades, sans quête de popularité ni de richesse.

Les méthodes utilisées étaient efficaces. C’était un franc succès.

Madame Barbara aida aussi son amie médecin Anna qui souffrait de migraines chroniques récalcitrantes aux médicaments. Les médecins baissèrent les bras.

Anna se rendit au cabinet de Madame Barbara dans l’espoir de trouver enfin un remède. Elle ne pouvait que suivre les conseils de cette thérapeute qui lui proposait de vérifier l’influence du biochamp de son mari. Il lui fallait se séparer temporairement de son mari. C’était irréalisable car elle ne disposait pas d’autre logement, mais elle aménagea une chambre à part. Depuis, sa vie a changé.

Ses migraines disparurent comme par magie! Et le goût de la vie lui revint. Et si c’était une incompatibilité sanguine était à la base de ces problèmes ? Voyons donc. Les deux dames et les membres de leurs familles avaient les groupes sanguins suivants :

– Madame Barbara : le groupe O Rh+, son mari : A1 Rh+, les enfants : A1 Rh+

– Anna : le groupe O Rh+, son mari : B Rh +

Si le mari d’Anna était homozygote BB, ses enfants hériteraient du groupe sanguin B.

Dans le couple comme celui-ci, les conflits sérologiques et la prééclampsie sont fréquents. Et effectivement, Anna faisait des fausses couches à répétition. Elle n’avait pas d’enfant.

Les thérapeutes présentés plus haut obtenaient souvent des résultats positifs. Ils étaient tous intelligents, expérimentés et bienveillants envers les autres. De plus, ils avaient des notions de médecine, de psychothérapie, de phytothérapie.

Le professeur Marcinkowski doutait de l’efficacité des biothérapeutes. Mais le professeur Sergei Rumyantsev proposa un concept d’effet „antibiotique” de certains haptènes sur des microorganismes pathogènes. Je suis enclin de penser qu’il avait peut-être raison.

Ce concept peut être justifié dans un cadre théorique, mais des recherches de pointe sont nécessaires pour apprendre comment l’action d’un biochamp conduit à des „miraculeuses” guérisons.

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